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Découvrez #Cerise l'égérie de l'édition 2016

Qui était Cerise ?

#Cerise, Bazadaise, égérie du #SIA2016

La Bazadaise Cerise, est morte accidentellement le 27 juillet 2016 à l’âge de 9 ans en donnant naissance à un veau. Cerise était une vache qui aimait le bon foin récolté par son éleveur, se pâturer dans les champs et mener sa vie paisible en liberté.

Dans la vie d’un éleveur, il y a des vaches qui marquent plus que d’autres. Pour Joël Sillac, éleveur de Cerise, elle faisait partie de ces vaches qui ne laisse pas indifférent. L’éleveur mise beaucoup sur une des descendantes de Cerise, Margot qui sort déjà du lot. Quant à Milady, la petite génisse que Cerise a mise bas en juillet, elle se porte également très bien.

 

Joël Sillac, éleveur de #Cerise

Joël a grandi dans la ferme familiale entouré de vache Bazadaises et devient agriculteur à l’âge de 20 ans en reprenant l’exploitation familiale qui comptait à l’époque seulement 12 vaches. Aujourd’hui, Joël travaille avec Angélique, sa femme sur leur exploitation de 160 hectares dont plus de la moitié de la surface est en herbe pour nourrir le troupeau. Leur troupeau se compose de 160 animaux : 60 vaches, autant de génisses qui deviendront de futures vaches, deux taureaux, des jeunes veaux et une douzaine de bœufs qui font la renommée des qualités bouchères de la race.

Pour Joël, le choix de Cerise comme vache égérie de l’édition 2016 du Salon International de l’Agriculture, c’est un peu comme être un ambassadeur pour tous les éleveurs de Bazadaises. C’est également un moyen de faire découvrir la race et montrer que ces animaux sont adaptés à tous types d’agriculture, de climats, de plaines et de montagnes. La race Bazadaise est donc une race chargée d’histoire, respectueuse des traditions et tournée vers l’avenir grâce à ses qualités d’élevage et bouchères.

 

La race Bazadaise : tout droit venue des Landes

La Bazadaise est née au cœur des coteaux du Massif Landais à Bazas au Sud-Ouest de Bordeaux. Servant à l’origine comme race de travail dans les vignes et l’exploitation forestière, la race Bazadaise s’est réorientée vers la production de viande après la seconde guerre mondiale où la mécanisation a pris de plus en plus d’ampleur dans l’agriculture.

Avec une robe pouvant varier du gris clair au gris foncé, voire charbonné au niveau de la tête, les cornes de la Bazadaise sont fortes et ovoïdes à la base. Avec une allure vive et élégante, elle se distingue par la finesse de son squelette, l’harmonie de ses formes, sa tête large et son mufle rosé.

 

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